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Maurice ROUZIER, Jeunes résistants en Nord Deux-Sèvres, Au cœur de l’OS 680 1941-1942, Geste éditions, septembre 2012, 318 pages. Professeur de lettres-histoire puis d’histoire-géographie à Niort et collaborateur du Maitron et du Dictionnaire des fusillés, Maurice Rouzier, militant communiste qui a exercé des responsabilités à la section de Niort du PCF et à la fédération des Deux-Sèvres, a publié chez Geste éditions un beau livre sur les jeunes résistants du Nord des Deux-Sèvres membres de l’OS 680. Qui étaient les huit jeunes résistants fusillés à Biard, près de Poitiers, le 3 décembre 1942 pour propagande communiste, sabotage et tentative d’attentat à la bombe ? Avant de répondre à cette question, Maurice Rouzier revient sur la ville de Thouars avant 1940, son quartier des cheminots et son maire communiste, Albert Boisseau, élu par surprise à la tête d’une majorité de front populaire dominée par la SFIO à la suite du refus de la tête de liste socialiste d’exercer les fonctions de maire. Les conseillers municipaux socialistes préfèrent Albert Boisseau à Henri Barthélémy, le principal dirigeant du Parti communiste dans la région de Thouars. Le premier condamnera le pacte germano-soviétique, ce que le second se refusera à faire. Peu de temps après la déclaration de guerre, l’entreprise Rusz, spécialisée dans les pièces d’avion et notamment les trains d’atterrissage, quitte Asnières en banlieue parisienne pour s’installer à Thouars en prévision des bombardements. C’est dans cette entreprise que des jeunes travailleurs souvent membres des Jeunesses communistes créent un groupe de l’Organisation Spéciale OS, la première organisation de résistance du Parti communiste. D’après les témoignages recueillis par Maurice Rouzier, l’OS est née en octobre 1940 dans la manufacture d’armes de Châtellerault avant d’essaimer à Thouars sous l’impulsion de Maxime Bacquet, un ouvrier né en 1920, fils d’un conseiller municipal communiste d’Arcueil en banlieue parisienne, installé à Thouars et embauché à l’usine Rusz en décembre 1940. Les membres de l’OS distribuent des petits papillons et des tracts dans les casiers à l’usine. Comme tous les réseaux de résistance, l’organisation est cloisonnée ; ses membres ne se connaissent pas les uns les autres. La première action notable de l’OS est le fait de trois jeunes militants qui remplacent le drapeau nazi au sommet du mât de la place Lavault par un drapeau tricolore le 27 mars 1941. L’enquête ne donna rien, mais en représailles, Henri Barthélémy est interné à Niort comme otage. Après les premiers attentats communistes au métro Barbès, à Nantes et à Bordeaux, Henri Barthélémy fait partie des 27 fusillés de Châteaubriant, le 22 octobre 1941. A Thouars, l’Organisation Spéciale se renforce, édite des tracts tirés sur une ronéo, ramasse des armes et récupère la poudre des cartouches pour fabriquer une bombe artisanale pendant qu’à l’usine Rusz, les ouvriers de l’OS ralentissent la cadence et sabotent les pièces. En fait, on assiste aux prémices de la transformation de l’Organisation Spéciale en groupe de FTP Francs-Tireurs et Partisans. Le 20 avril 1942, un groupe de l’OS dépose une bombe dans les locaux d’un atelier de réparations de locomotives. La bombe n’explose pas. Rapidement, la police, sous la direction du commissaire Poupaert – et avec l’aide du directeur de l’usine Rusz – parvient à identifier les militants communistes présents dans l’usine. Maxime Bacquet parvient à s’enfuir avant la vague d’arrestations de mai et juin 1942 qui décapitent l’Organisation Spéciale. Son remplaçant, Joseph Berthou, nouveau responsable interrégional de l’OS est arrêté, suivi d’une quinzaine de militants de l’OS et de membres de leurs familles. L’affaire de l’OS de Thouars est jugée devant la section spéciale du tribunal de Bressuire les 18 et 21 juillet 1942. Maurice Rouzier explique au chapitre 5 la genèse de ces juridictions d’exception mises en place par le régime de Vichy. Trois militants, Jean Brunet, René Drapeau et Edouard Chénier sont condamnés à plusieurs années de travaux forcés, sept autres à des peines de prison et le plus jeune, André Forestier, est acquitté. Le verdict ne convient pas aux Allemands qui décident de rejuger les membres de l’OS devant le tribunal militaire de la Feldkommandantur de Poitiers du 18 au 24 novembre 1942. Cette fois, onze résistants sont condamnés à mort. Les huit hommes sont fusillés à Biard, le 3 décembre 1942, les trois femmes, déportées en Allemagne. Huit autres résistants qui avaient échappé à la condamnation à mort sont déportés avec elles en décembre 1942. Maurice Rouzier explique au chapitre 7 que la décapitation de l’OS de Thouars ne marque pas la fin de la résistance dans les Deux-Sèvres. La résistance communiste se réorganise, des groupes de FTP se structurent comme le groupe du Mellois ou celui du marais poitevin que l’historien Michel Chaumet décrit dans la postface. Maxime Bacquet, passé par Bordeaux et chargé de réorganiser un groupe FTP dans la région de Saumur est arrêté et fusillé le 13 décembre 1943. Simone Thomas, l’agent de liaison de Joseph Berthou, qui avait été arrêtée à Thouars avec le reste du groupe mais avait miraculeusement pu s’échapper du commissariat de police passe dans la clandestinité et gagne la région parisienne. On la retrouve agent de liaison et convoyeuse de fonds à Amiens et Dijon, chargée de faire le lien entre réseaux gaullistes et communistes. A la libération vient le temps du deuil dans une ville qui honore ses martyrs. Revenus de la déportation, les survivants du groupe s’attacheront dans les années qui suivent à raconter et à transmettre la mémoire de l’OS 680. C’est de la rencontre entre ces survivants et Maurice Rouzier qu’est né le livre Jeunes résistants en Nord Deux-Sèvres. Maurice Rouzier souhaitait mettre en lumière une organisation de résistance mal connue. L’Organisation Spéciale, un des premiers mouvements de résistance qui passe progressivement de la distribution de tracts au sabotage et à la lutte armée, préfigure ce que seront les mouvements de résistance plus tardifs. S’appuyant sur de nombreux témoignages et illustré de photos des principales figures de l’OS 680, le livre de Maurice Rouzier a le mérite de reconstituer avec minutie la naissance, l’histoire et les conditions de la disparition de l’OS 680. A plusieurs reprises, l’auteur explique que ses recherches lui ont permis d’apprendre aux témoins qu’il rencontrait des éléments de l’histoire du groupe qu’ils ignoraient eux-mêmes. Jeunes résistants en Nord Deux-Sèvres n’est pas qu’un livre d’histoire, c’est un bel hommage qui est rendu aux résistants de l’OS 680 qui sont morts et à ceux qui ont survécu pour témoigner. David NOËL Compte-rendu de lecture paru dans le numéro 436 d’Historiens & Géographes, Janvier-février 2016 Pierre OUTTERYCK, Au Camarade Maire Joseph Hentgès, Ouvrier Communiste Résistant, Lille, Editions du Geai Bleu, avril 2012, 55 pages. Paru en avril 2012 aux éditions du Geai Bleu, le petit livre que consacre l’historien nordiste Pierre Outteryck, professeur agrégé d’histoire spécialiste du mouvement ouvrier, auteur d’une belle biographie de Martha Desrumaux parue en 2009 chez le même éditeur, à l’ancien maire d’Hellemmes Joseph Hentgès fait partie de la collection Parcours d’Histoires, dont le catalogue devrait s’étoffer avec des livres annoncés sur Benoît Frachon, Renaud Jean et Marcel Cachin. Figure régionale du Parti Communiste nordiste durant l’Entre-Deux-Guerres, Joseph Hentgès méritait amplement qu’un ouvrage lui soit consacré. Avec le sens du récit qui est le sien, Pierre Outteryck fait revivre au lecteur la vie d’un enfant d’ouvrier devenu ouvrier, syndicaliste, maire puis responsable départemental du jeune parti communiste avant de mourir fusillé par les Allemands en 1942. Dans un premier temps, Pierre Outteryck revient sur l’enfance et les années de formation d’Hentgès, jusqu’en 1910. Né en 1875 à Wasquehal d’un père allemand installé en France, le jeune Joseph a perdu sa mère à l’âge de 10 ans. Elève appliqué, il quitte l’école à 12 ans et commence à travailler comme rattacheur à la cotonnière Holden, à Croix. A 18 ans, il s’engage dans l’armée pour 4 ans. De 1895 à 1897, il fait partie des troupes qui occupent le Tonkin et l’Annam. Démobilisé, Hentgès rentre à Cambrai puis s’installe à Paris où il est embauché à la Compagnie de chemins de fer du Nord comme peintre des voitures passagers aux ateliers de La Chapelle, près de la gare du Nord. A Cambrai où il revient régulièrement, il fait la connaissance d’Henriette Decarpigny, une couturière ; ils se marient en 1899. Le couple aura huit enfants. En 1899, Hentgès adhère à Fédération des Travailleurs du chemin de fer, qui n’est pas encore affiliée à la CGT. De retour dans le Nord en 1904, il travaille désormais aux ateliers des chemins de fer à Hellemmes et il y fonde une section syndicale CGT. L’année 1910 sera une année charnière dans la vie de Joseph Hentgès. Hentgès est un des leaders nordistes de la grève de la thune » qui éclate le 11 octobre 1910 avec le mot d’ordre d’une thune – la pièce de 5 francs – par jour. Le gouvernement d’Aristide Briand réprime le mouvement, réquisitionne les cheminots, mobilise les gendarmes. Plusieurs centaines de cheminots sont révoqués dont Joseph Hentgès. La deuxième partie de la biographie d’Hentgès, qui va de 1911 à 1920 s’intéresse aux premières années de mandat de l’élu socialiste et à l’occupation. Après sa révocation, Joseph Hentgès a ouvert un bistrot, rue Ferdinand-Matthias, en face des ateliers. Il mène la liste socialiste aux élections municipales de 1912 et est élu maire d’Hellemmes a à peine 36 ans. La petite ville de la banlieue lilloise compte à l’époque un peu plus de 12 000 habitants. Le premier acte du nouveau maire d’Hellemmes est de faire voter deux motions contre la révocation des cheminots grévistes et contre la vie chère. En 1913, Hentgès est élu conseiller général du canton de Lille Est. Lorsque la guerre éclate en 1914, Joseph Hentgès qui n’est pas mobilisé – il a alors 39 ans – reste à son poste. Après de violents combats, Hellemmes est occupée par les Allemands qui mettent au travail forcé les populations civiles. Joseph Hentgès, désigné otage, est plusieurs fois incarcéré 13 jours en 1915 à la Citadelle de Lille, 5 jours en 1916 à la prison de Loos-Lez-Lille, puis en 1917 pour avoir protesté contre la réquisition de jeunes Hellemmois pour creuser des tranchées près du front. Après cette nouvelle incarcération, Hentgès est destitué par les autorités allemandes et remplacé par son premier adjoint. Marqué par l’expérience de la guerre, Joseph Hentgès fait partie, avec Clotaire Delourme et Florimond Bonte de la poignée de militants qui organisent les comités d’adhésion à la IIIème Internationale dans le Nord. Il lance le journal Le Prolétaire qui deviendra bientôt L’Enchaîné. Présent au Congrès de Tours en décembre 1920, Hentgès vote l’adhésion à la IIIème Internationale et la création du Parti communiste. La troisième partie du livre de Pierre Outteryck, qui va de 1921 à 1938 voit Joseph Hentgès devenir un des principaux responsables du jeune parti communiste du Nord. Réélu maire d’Hellemmes en 1919, Hentgès s’occupe de la reconstruction avec la création d’un office de reconstitution et l’achat du château Fanyau afin d’offrir à la population ouvrière un hôtel de ville digne de ce nom, mais Hentgès perd le bras de fer avec la compagnie des chemins de fer du Nord pour obtenir l’installation d’un nouveau dépôt. En 1925, Hentgès est battu aux élections municipales par le socialiste Désiré Therby. Il perd également son poste de conseiller général et, malgré plusieurs candidatures, ne les regagnera pas. Il se consacre alors à l’animation de la Fédération communiste du Nord et du journal L’Enchaîné. Trésorier de la Fédération du Nord de 1921 à 1923, il est secrétaire de la Fédération de 1923 à 1929. Son action de responsable communiste est marquée par la mobilisation contre la guerre du Rif en 1924-1925, avec Martha Desrumaux. Le 2 octobre 1925, Hentgès organise dans le Nord la grève contre la guerre du Rif. Il se rend à Moscou en 1922 et en 1927. Cependant, en 1929, il est mis à l’écart de la direction de la Fédération du Nord par la nouvelle direction Barbé-Celor et démis de ses fonctions de directeur de L’Enchaîné. Menacé d’arrestation, il doit se réfugier en Belgique en 1929. Il est de retour en France en 1930 où il assiste le nouveau maire communiste de Seclin, Paul Durot. Hentgès, qui a retrouvé des responsabilités fédérales à la suite de l’arrivée de Maurice Thorez à la tête du PCF est un des organisateurs de la marche des chômeurs du Nord, en 1934. Battu une nouvelle fois aux élections législatives de 1936 à Hellemmes, Hentgès observe avec satisfaction l’arrivée au pouvoir du Front populaire et se mobilise pour soutenir les grévistes en mai-juin 1936. On le retrouve également aux côtés de Martha Desrumaux dans l’organisation de l’aide aux Républicains espagnols accueil d’enfants espagnols, recrutement de volontaires pour les Brigades Internationales… La dernière partie de l’ouvrage de Pierre Outteryck couvre la période 1939-1942. Antifasciste, Hentgès participe à plusieurs réunions publiques en 1938-1939 à la suite des accords de Munich. Il appelle la France à se rapprocher de l’URSS pour contrecarrer les projets d’Hitler. En septembre 1939, suite à la signature du pacte germano-soviétique, le Parti communiste et ses journaux sont interdits, le siège lillois de la Fédération du Nord du PCF est perquisitionné et mis sous scellés. Joseph Hentgès, depuis son commerce d’Hellemmes, reste en contact avec les autres dirigeants communistes du Nord et tente de réorganiser clandestinement le Parti communiste. En juin 1940, il participe à une première réunion à Comines avec Martha Desrumaux. Hentgès sera un des rédacteurs de L’Enchaîné clandestin. En mai-juin 1941, c’est la grève des mineurs du bassin minier, partie du puits du Dahomey à Montigny-en-Gohelle. Pendant une semaine, 100 000 mineurs refusent de travailler. Informé que son nom figure sur une liste de 72 otages remise aux Allemands par la préfecture du Nord, Hentgès refuse de prendre la fuite. Pierre Outteryck cite les souvenirs de Jean-Marie Fossier J’ai conservé le souvenir d’un Joseph gardant son calme, disant que jamais la police n’oserait arrêter un homme de son âge, d’une personnalité qui bénéficiait, il est vrai de la sympathie de toute la population d’Hellemmes ». En fait, sur son dossier, au siège de l’OFK 670, il n’y a qu’une phrase, mais le général Niehoff ne se trompe pas Dangereux à cause de sa grande influence ». Arrêté le lendemain par des policiers français accompagnés d’agents de la Gestapo, Hentgès est emmené à la caserne Négrier à Lille, puis enfermé à la prison de Loos-Lez-Lille. Le 24 février 1942, il est transféré à la citadelle de Huy en Belgique. Il est fusillé le 14 avril 1942 au fort du Vert Galant à Wambrechies avec 34 autres otages, à l’âge de 67 ans. Le document le plus émouvant qui figure dans le livre de Pierre Outteryck est la dernière lettre de prison de Joseph Hentgès à son fils aîné, datée du 29 décembre 1941. Hentgès y écrit que Jamais je n’ai douté de l’issue finale de la bataille gigantesque en cours, jamais je n’ai été plus confiant en l’avenir qu’en ce moment ». Syndicaliste, élu local, responsable régional de premier plan du Parti communiste et résistant, Joseph Hentgès est une figure essentielle du mouvement ouvrier nordiste de la première moitié du XXème siècle. C’est tout le mérite du petit ouvrage de Pierre Outteryck de nous le rappeler. David NOËL Compte-rendu de lecture paru dans le numéro 433 d’Historiens & Géographes, Janvier-février 2016. Aurélie LUNEAU, Je vous écris de France, Editions L’iconoclaste, mai 2014, 285 pages. Docteur en histoire et productrice à France Culture, Aurélie Luneau, qui avait déjà publié en 2005 Radio Londres, les voix de la liberté » s’est intéressée cette fois au courrier adressé par les Français à la BBC entre 1940 et 1944. Le résultat s’appelle Je vous écris de France » et vient de paraître aux éditions L’iconoclaste en partenariat avec France Culture, France Info et la fondation d’entreprise La Poste. Le bel ouvrage d’Aurélie Luneau, préfacé par Jean-Louis Crémieux-Brilhac, à l’époque chef du service de radiodiffusion de la France libre, rassemble des dizaines d’extraits de lettres parvenues par différents moyens à la BBC. Certaines de ces lettres – une cinquantaine – figurent dans l’ouvrage en photographie et même, pour quelques-unes, sont insérées en fac-similé. Il y a quelque chose d’émouvant à découvrir ces lettres manuscrites, le plus souvent anonymes, parfois accompagnées de dessins, rédigées par des Français et des Françaises qui prenaient de vrais risques pour écrire à leurs amis de Londres ». Aurélie Luneau a découpé son recueil en 4 chapitres L’effondrement », La France asservie », Le tournant de la guerre » et L’attente ». Les premières lettres écrites au lendemain de l’appel du 18 juin arrivent en Angleterre au mois de septembre 1940 au rythme d’une centaine de lettres par mois. Le flot de lettres se tarit après l’invasion de la zone libre en novembre 1942 pour disparaître complètement à partir de la fin de l’année 1943. Ces lettres adressées à Radio Londres partent de la zone libre et transitent par la Suisse, le Portugal ou encore l’ambassade des Etats-Unis à Lyon. Elles mettent en général deux mois pour arriver à destination. On confie ses lettres à un ami qui part à l’étranger ou on les poste en comptant sur la bienveillance d’un censeur qui les laissera passer. Les correspondants anonymes se choisissent parfois des pseudonymes révélateurs tels que Croix de Lorraine », Libération d’abord » ou Guillaume Tell ». A partir de janvier 1941, tous les vendredis, l’émission Les Français parlent aux Français » est consacrée à la lecture des lettres de France. L’émission est attendue avec impatience par les auditeurs qui demandent quand ils écrivent qu’on accuse réception de leur lettre ou qu’on leur donne des nouvelles d’un frère, d’un fils ou d’un ami engagé au sein des Français libres. Ces lettres des auditeurs de la BBC témoignent de l’impact des émissions de Radio Londres sur l’opinion publique française. Si les premières lettres, rédigées en 1940, défendent parfois l’action de Pétain ou critiquent les Anglais accusés de ne pas s’être assez battus durant la campagne de France, on sent très vite dans les lettres reçues à la BBC le basculement de l’opinion qui tient Pétain, Laval, Darlan et les groupements collaborationnistes comme le PPF dans la même exécration. Il faut évidemment nuancer le portrait de l’opinion publique française sous l’occupation qui ressort de Je vous écris de France ». D’abord parce qu’à l’époque, seuls 6,5 millions de foyers sont équipés d’un poste de TSF. Si on écoute les émissions de radio en famille, il n’est pas facile, sous l’occupation, de capter la BBC le brouillage allemand gêne la réception ; les postes sont confisqués, en particulier dans les départements littoraux où les Allemands attendent le débarquement. Pour autant, ces lettres adressées à la BBC sont d’un intérêt historique indéniable. Elles disent toutes le non-consentement » à l’occupation de la patrie. Elles fourmillent d’anecdotes sur les difficultés de la vie quotidienne, les files d’attente interminables mais elles contiennent aussi des renseignements sur la disposition des troupes allemandes et les établissements industriels à bombarder. A ce titre, elles étaient d’abord analysées par les services anglais avant d’être transmises à l’équipe de Radio Londres. Ces lettres permettent de mesurer l’écho des campagnes lancées par Radio Londres, comme celle du V de la victoire, dessiné sur tous les murs comme le confirment plusieurs lettres. Beaucoup d’auditeurs parlent avec mépris de la presse aux ordres de l’occupant. Un auditeur du Pas-de-Calais évoque le triomphe des manifestations du 11 mai 1941 pour la fête de Jeanne d’Arc à Lens, Hénin-Liétard, Oignies et Lille. Un auditeur nantais raconte qu’on siffle Hitler et Mussolini lors de la diffusion des actualités au cinéma. A la séance suivante où des gardes ont été postés et les sifflets interdits, tout le public se met à tousser et éternuer. Plus loin, un autre auditeur nantais revient sur le 14 juillet 1941 Les fleurs n’étaient pas défendues. Donc au balcon, nous vîmes fleurir des guirlandes et des bouquets tricolores ». Un autre auditeur, habitant de Pontarlier évoque tout un peuple portant en guise d’insigne un bouquet de muguet » et défilant devant la mairie le 1er mai 1942. On ne comprend pas le maintien de Darlan en Algérie, on dresse des listes de collaborateurs notoires et tandis que la guerre se prolonge, l’impatience grandit et les messages des auditeurs se font plus pressants Hâtez-vous, hâtez-vous, nous ne tenons plus. Venez au plus vite sinon vous risquez de débarquer dans un pays où il n’y aura plus que des fous, des morts, des agonisants » écrit un auditeur dans une lettre non signée datée d’avril 1943. Pendant quatre ans, les lettres adressées à la BBC, jetées comme autant de bouteilles à la mer, ont été la manifestation concrète du lien qui s’était tissé entre les voix de la France libre et les habitants de la France occupée. C’est tout l’intérêt du beau livre d’Aurélie Luneau que de nous donner à voir ce lien en faisant ressortir ces lettres de l’oubli. David NOËL Compte-rendu de lecture paru dans le supplément électronique du numéro 430 d’Historiens & Géographes, Mai-juin 2015. Eric KERJEAN, Canaris, le maître espion de Hitler, Editions Perrin, février 2012, 224 pages. Historien spécialiste du IIIe Reich et du renseignement, Eric Kerjean a publié chez Perrin une biographie de l’amiral Canaris qui bouleverse la vision que l’on avait jusqu’à présent du chef de l’Abwehr. L’amiral Wilhelm Canaris, chef de l’Abwehr, le service de renseignements militaires allemand durant la Seconde guerre mondiale, est un personnage énigmatique. Cet officier de marine nationaliste a souvent été présenté comme un acteur de la résistance militaire allemande à Hitler, aux côtés d’un Stauffenberg. Après l’attentat du 20 juillet 1944, Canaris est arrêté et exécuté le 9 avril 1945 au camp de Flossenbürg en même temps que son adjoint Hans Oster et le pasteur Dietrich Bonhoeffer. Incontestablement, l’amiral Canaris a entretenu des relations avec la résistance militaire au nazisme et a protégé, dans son propre service des résistants comme Oster et Gisevius. Son action a permis de sauver plusieurs centaines de Juifs et une organisation juive a récemment proposé d’inscrire l’amiral Canaris sur la liste des Justes au mémorial de Yad Vashem. Tout cela ne convainc pas Eric Kerjean qui se demande comment les succès initiaux d’Hitler auraient été possibles avec un opposant à la tête du service de renseignement militaire de l’armée allemande. Pour Eric Kerjean, Canaris est d’abord un nationaliste anticommuniste traumatisé par l’effondrement de l’Allemagne impériale, proche des corps francs et qui aurait fait partie des assassins de Karl Liebknecht et Rosa Luxemburg. Séduit par le national-socialisme, Canaris aurait été très proche de Reinhard Heydrich qu’il a pris sous son aile à partir de 1923. Dans un chapitre intitulé l’amitié entre pairs », on découvre que les familles Canaris et Heydrich habitaient dans la même rue et se fréquentaient, une amitié entre le chef de l’Abwehr et le chef du SD qui durera jusqu’à la mort de ce dernier et qui explique peut-être aussi l’ascension de Canaris après la prise du pouvoir par les nazis. Si cette biographie de l’amiral Canaris fait curieusement l’impasse sur les activités de l’Abwehr en matière de renseignement militaire, Eric Kerjean s’arrête sur plusieurs épisodes significatifs d’après lui de la duplicité de Canaris. En 1938, après l’affaire Blomberg-Fritsch, Canaris rédige une note, la Démarche » pour demander la réintégration de Fritsch et une purge de la SS et de la Gestapo afin de libérer l’armée du cauchemar de cette Tcheka ». Il y explique qu’il ne s’agit pas de s’opposer à la Gestapo, mais seulement de s’appuyer sur des nationaux-socialistes loyaux et honnêtes ». Pour Kerjean, le texte, qui en restera à l’état de projet et ne sera signé par aucun des généraux à qui il fut adressé était voué à l’échec ; Canaris s’opposait au national-socialisme au nom du national-socialisme. En 1942, l’évasion du général Giraud permet à Canaris de jouer les résistants à bon compte. Eric Kerjean explique comment Canaris a intoxiqué ses propres adjoints en leur affirmant s’être opposé à un ordre d’élimination du général français que Keitel, le chef de l’OKW n’aurait en réalité jamais donné. Un des principaux documents à charge du libre d’Eric Kerjean est le texte baptisé les dix commandements » qui figurine en annexe de la biographie de Canaris. Il s’agit en fait d’un texte de 1942 signé par Heydrich et Canaris qui délimite les champs d’intervention du SD et de l’Abwehr. Pour Eric Kerjean, la mission de protection préventive contre la surveillance militaire, contre la trahison et le sabotage dans les établissements dont les installations doivent rester secrètes » confiée à l’Abwehr aurait engagé les services de Canaris dans le système concentrationnaire nazi, ces établissements désignant clairement d’après Kerjean les camps de concentration et d’extermination. N’y aurait-il pas là une surinterprétation de la part d’Eric Kerjean ? Plus loin, à propos de l’attentat à la bombe manqué contre Hitler à Smolensk le 13 mars 1943, Eric Kerjean explique comment l’amiral Canaris, prévenu par les initiateurs de l’attentat, était en fait le seul à avoir pu faire désamorcer le détonateur. La thèse est séduisante, mais au final, le doute demeure. Pour Eric Kerjean, l’amiral Canaris est parvenu à faire croire qu’il soutenait la résistance nationale-conservatrice allemande pour mieux, en réalité, connaître ses intentions et intoxiquer les Alliés ce qui explique qu’il ait été protégé jusqu’en 1944 par Himmler. Ainsi, Canaris, qui connaissait tous les opposants à Hitler qui ont tenté de négocier une paix séparée avec les Alliés, jouait en fait un triple jeu. Loin de trahir Hitler, il pouvait mesurer la faisabilité d’une paix séparée tout en ruinant la crédibilité des démarches de l’opposition, les services secrets alliés ne lui faisant pas confiance. Mais après le 20 juillet 1944, le régime nazi se durcit et l’Etat allemand devient un Etat-SS. Arrêté, Canaris est dénoncé par les véritables résistants qui le présentent comme un de leurs complices parce qu’ils ont vu clair dans son double jeu et veulent le lui faire payer tandis qu’Himmler voit dans sa chute l’occasion de de débarrasser d’un rival devenu inutile. L’amiral Canaris est exécuté le 9 avril 1945, trois semaines avant le suicide d’Hitler. Avec cette biographie de l’amiral Canaris qui prend le contrepied des travaux antérieurs d’André Brissaud, que Kerjean qualifie de véritable hagiographie », c’est un des acteurs majeurs du régime nazi qui chute de son piédestal. Malheureusement, on ne parvient pas à être tout à fait convaincu par la lecture de cette biographie et on en ressort avec le sentiment que le portrait que brosse Eric Kerjean du chef de l’Abwehr est très noirci sans que les arguments avancés n’emportent totalement l’adhésion. David NOËL Compte-rendu de lecture paru dans le numéro 422 d’Historiens & Géographes, avril-mai 2013.

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Ruedes Resistants Internes sur la carte de Le Mans, France. Rue des Resistants Internes sur la carte de Le Mans. Sur la page montre le schma du passage et de l'emplacement de Rue des Resistants Internes, sur le plan de la ville de Le Mans. Le image satellite permet de voir à quoi ressemble le bâtiment et la région environnante.
Error 403 Guru Meditation XID 846973073 Varnish cache server Transportsen commun vers Boulevard Paixhans 19 à Le Mans. Vous vous demandez comment vous rendre à Boulevard Paixhans 19 à Le Mans, France? Moovit vous aide à trouver le meilleur moyen pour vous rendre à Boulevard Paixhans 19 avec des instructions étape par étape à partir de la station de transport en commun la plus proche. Verre Pare-Feu une large gammeUn Verre Pare-Feu est utilisé au sein de lieux recevant du vitrages doivent répondre aux exigences de protection s’agit d’une mesure imposée à tous bâtiments afin de limiter la propagation du feu et d’assurer une vue suffisamment dégagée pour faciliter l’évacuation des les concepteurs, tels que les menuisiers, les métalliers ou les architectes, Righetti propose une large gamme de vitrages résistants au feu Vitrage Pare-Flamme 1/2hVerre Coupe-Feu 1/2h, 1h, 2hPorte en verre et vitrage bord à bord coupe-feu VIGLASNous travaillons avec les plus grands acteurs du marché Pilkington, Schott et AGCChaque verre pare-feu que l’on vous propose est fournis avec un procès verbal adapté à tout type d’installation pour vous offrir des solutions complètes Schüco, Forster,Jansen, RP Technik.Verre Pare-flamme Norme ELe verre pare-flamme possède les caractéristiques suivantes Résistance mécanique,Etanchéité aux flammesBloque l’émission de gaz et fumées inflammables, facteurs de propagation d’ références en vitrage pare-flamme sont PILKINGTON PyrodurLe verre Pilkington Pyrodur est une des solutions idéales pour la protection contre les flammes en cas d’incendie. Ce vitrage pare-flamme est assemblé en multi-feuilleté avec, à l’intérieur du vitrage, un intercalaire intumescent offrant une protection pare flamme EW pour une durée de 30 à 60 minutes. Selon l’épaisseur du verre, Pyrodur offre également une protection contre les impacts en conformité avec la norme européenne EN 12600 classe 1B présence d’un incendie, Pyrodur devient opaque et joue le rôle d’une barrière contre les gaz chauds et les flammes. Ainsi, il répond conformément aux normes ISO et PyrobeliteLe verre Pyrobelite correspond à un vitrage feuilleté transparent assemblé avec des verres float entre lesquels on insère un film intumescent. En présence d’un incendie le film se métamorphose en écran cellulaire réfractaire et opaque. Il assure, par conséquent, une étanchéité conte les flammes et réduit fortement le rayonnement de PyranPyran est un verre pare-feu conçu à base de verre brososilicate, il fournit une qualité irréprochable en matière de résistance contre les chocs thermiques contrairement à un verre de sécurité classique. Pyran peut résister au feu pour une durée de plus de 90 minutes avec l’augmentation de prise en Coupe-feu Norme EIEn complément des critères pare-flamme énumérés ci-dessus, le verre coupe-feu apporte, en plus, une isolation références en vitrage Coupe-feu sont PILKINGTON PyrostopPyrostop est un verre pare-feu fabriqué à base de verres multi-feuilletés transparents intégrant un intercalaire intumescent. Ce vitrage endosse le rôle d’une barrière thermique et résiste parfaitement contre les impacts. En plus d’une protection contre les incendies, ce vitrage pare-feu permet également une vue dégagée pour faciliter l’évacuation des PyrobelLe verre Pyrobel correspond à un verre feuilleté transparent conçu sans maille métallique interne et assemblé grâce à deux ou plusieurs intercalaires intumescents. Lorsque la température de la paroi avoisine les 120°C, les intercalaires fusionnent. A ce niveau, la visibilité reste conservée. Au-delà le vitrage se transforme en un complexe cellulaire rigide et le vitrage coupe-feu Pyrobel garantit stabilité, étanchéité et isolation PyranovaPyranova est un verre feuilleté coupe-feu contenant différentes couches de verre flotté. Entre ces plaques, un intercalaire intumescent est inséré et s’épaissit avec la chaleur. Pyranova a pour objectif d’empêcher la propagation des flammes et de la synthétique de notre gammeFabricantPare-FlammeCoupe-FeuApplications principalesApplications secondairesPILKINGTONPyrodurPyrostopCloison Porte Châssis Toiture Façade FenêtreAGCPyrobelitePyrobelÉcran de cantonnement Vitrage bord à bordSCHOTTPyranPyranovaÉcran de cantonnement Vitrage bord à bordPorte et vitrage coupe-feu bord à bord VIGLASNorme EI30 et EI60 variable selon les dimensions de la porteVIGLAS est une porte en verre coupe feu innovante conçue sans châssis et sans encadrement. Entièrement vitrée, cette porte en verre offre des performances anti-feu à différents classements, VIGLAS s’adapte à diverses configurations un vantail, deux vantaux, ou encore incorporée dans une cloison coupe feu bord à bord sans montants offre un design hautement technique avec des éléments décoratifs minimalistes sur base de matériaux tels que l’aluminium, l’acier ou l’ s’intègre de façon moderne dans tous les espaces de haut standing nécessitant une résistance au feu la plus discrète possible avec un maximum de techniques Epaisseur 33 mmTransmission lumineuse 78%Poids 76 kg/m²Isolation acoustique 43 dBRésistance aux chocs 1B1Verre Pare-Feu procès-verbaux et essaisLes vitrages pare-feu sont répertoriés en fonction des résultats obtenus aux tests Ministère de l’Intérieur communique dans un arrêté datant du 22 mars 2004, les conditions de résistance au feu pour les matériaux de des procès-verbaux d’essais délivrés par le laboratoire officiel mentionnent pour chaque élément de construction vitré et testé L’encadrement type, nature, fonctionLe verre, ou le remplissage nature du verre, ou du remplissageLa liaison encadrement, verre ou remplissageLes quincailleriesLes dimensions et sens du verre ou du remplissageLe support menuiserie maçonnerie, cloison…
Toutsur la voie 31 ter rue des Résistants Internés, 72000 Le Mans : prix immobilier (m2), immeuble par immeuble. Evolution du m2 et estimation immobilière des appartements et maisons 31 ter rue des Résistants Internés, 72000 Le Mans.
Rue des Résistants Internés, Le Mans 72000, 72100 Appartement Prix m2 moyen 3 068 € de 2 451 € à 3 629 € Indice de confiance Maison Prix m2 moyen 3 299 € de 2 636 € à 3 901 € Indice de confiance Rue des Résistants Internés, Le Mans 72000, 72100 Remarque les prix indiqués ci-dessous sont ceux de la ville de Le Mans Appartement Loyer mensuel/m2 moyen 13,5 € de 9,4 € à 21,9 € Indice de confiance Maison Loyer mensuel/m2 moyen 11,6 € de 7,6 € à 15,4 € Indice de confiance Consulter le prix de vente, les photos et les caractéristiques des biens vendus Rue des Résistants Internés, Le Mans 72000, 72100 depuis 2 ans Obtenir les prix de vente En août 2022 au Mans, le nombre d'acheteurs est supérieur de 7% au nombre de biens à vendre. Le marché est dynamique. Conséquences dans les prochains mois *L'indicateur de Tension Immobilière ITI mesure le rapport entre le nombre d'acheteurs et de biens à vendre. L’influence de l’ITI sur les prix peut être modérée ou accentuée par l’évolution des taux d’emprunt immobilier. Quand les taux sont très bas, les prix peuvent monter malgré un ITI faible. Quand les taux sont très élevés, les prix peuvent baisser malgré un ITI élevé. 89m2 Pouvoir d’achat immobilier d’un ménage moyen résident 51j Délai de vente moyen en nombre de jours Le prix moyen du m² pour les appartements Rue des Résistants Internés à Le Mans est de 3 068 € et peut varier entre 2 451 € et 3 629 € en fonction des adresses. Pour les maisons, le prix du m² y est de 3 299 € en moyenne; il peut néanmoins varier entre 2 636 € et 3 901 € en fonction des adresses et le type de la maison. Rue et comparaison Prix m² moyen 8,6 % plus cher que le quartier Mission / Monthéard 2 963 € 8,6 % plus cher que Le Mans 2 963 € À proximité Impasse de la Poudrière, Le Mans 72000 Impasse des Marais, Le Mans 72000 Rue Guillemare, 72000 Le Mans Rue de la Bertinière, 72100 Le Mans Rue de la Corderie, 72000 Le Mans Rue des Marais, Le Mans 72000 Rue du Chemin de Fer, Le Mans 72000 Rue du Rail, Le Mans 72000 Cette carte ne peut pas s’afficher sur votre navigateur ! Pour voir cette carte, n’hésitez pas à télécharger un navigateur plus récent. Chrome et Firefox vous garantiront une expérience optimale sur notre site.
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Larésistance en Mayenne concerne la résistance intérieure à l'Allemagne nazie dans le département de la Mayenne lors de la Seconde Guerre mondiale.. Prisonniers des Allemands. Des soldats français croient la guerre finie et pensent qu'ils seront renvoyés dans leurs foyers. Ils sont faits prisonniers [1].Ils sont emmenés vers des camps provisoires que les Allemands
Pavard Evelyne à Mans LeActivité OrthophonisteAdresse 24 Rue Marcel Proust, Gazonfier 72000 Mans LeBesoin d’aide ?Si vous n’arrivez pas à trouver les coordonnées d'une Orthophoniste à Mans Le en naviguant sur ce site,vous pouvez appeler le 118 418 dîtes TEL », service de renseignements téléphonique payant 24h/24 7j/7 qui trouve le numéro et les coordonnées d'une OrthophonisteAPPELEZ LE 118 418 et dîtes TEL »Horaires d'ouvertureLes horaires d'ouverture de Pavard Evelyne à Mans Le n'ont pas encore été les !Contactez directement Pavard Evelyne pour connaître leurs horaires d'ouverturesLes entreprises à proximité de Pavard Evelyne dans la catégorie Orthophoniste1 178 m Callens ClaireActivités Orthophoniste, Orthophoniste, orthophonistesAdresse 39 Rue François De Malherbe, 72000 Mans Le2 894 m Julien-dordolo NicoleActivités Orthophoniste, Orthophoniste, orthophonistesAdresse 36 Rue Pyrénées, 72100 Mans Le3 897 m Bourdon SandrineActivités Orthophoniste, Orthophoniste, orthophonistesAdresse 2 Rue Alcide De Gaspéri, 72100 Mans Le4 1 km Chevallier Moreau EliseActivités Orthophoniste, Orthophoniste, orthophonistesAdresse 38 Rue Galilée, 72100 Mans Le5 1 km Duvernay BénédicteActivités Orthophoniste, Orthophoniste, orthophonistesAdresse 38 Rue Galilée, 72100 Mans Le6 2 km Barrier CélineActivités Orthophoniste, Orthophoniste, orthophonistesAdresse 24 Rue Résistants Internés, 72000 Mans Le7 2 km Fleury AnneActivités Orthophoniste, Orthophoniste, orthophonistesAdresse 24 Rue Résistants Internés, 72000 Mans Le8 2 km Gouffé AnnieActivités Orthophoniste, Orthophoniste, orthophonistesAdresse Les Anemones 11 Rue Romarins, 72000 Mans Le9 2 km Joubin EmmanuelleActivités OrthophonisteAdresse 4 Rue Bourg Bas, 72100 Mans Le10 2 km Hubert DelphineActivités OrthophonisteAdresse L'oree Du Mail C 3 Allée Jean Jaurès, 72100 Mans LeDonner votre avis sur pavard evelyne à Mans Le
Comearrivare a Rue des Résistants Internés in Bus? Clicca sulla linea Bus che preferisci per vedere passo-passo le indicazioni sulla mappa, i prossimi arrivi e gli avvisi in tempo reale. Da Biocoop, Le Mans 63 min; Da Lycée Professionnel Claude Chappée, Arnage 42 min; Da La Milesse 51 min; Da Résidence Universitaire Bartholdi, Le Mans 64 min V3Ngi.
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