Crédit photo Les fêtes de Pâques arrivent en avril cette année, et un homme, David Latimer, ne peut que se souvenir du dimanche de Pâques de l’année 1960. Comme en 2022, ce dimanche tombait aussi le 17 avril, et ce jour-là, un homme à la main très verte a décidé de planter un jardin dans une bouteille… Une idée qui lui est venue par hasard alors qu’il disposait d’une énorme bouteille dont il n’avait pas l’utilité; il s’est dit qu’il allait tenter l’expérience d’en faire un jardin ! Il ne devait pas s’attendre à ce que celui-ci devienne mondialement connu. Le jardin dans la bouteille de David Latimer n’a pas été arrosé depuis 1972, et pourtant, il est magnifique ! plante peut résister à l’enfermement ? David Latimer a planté dans sa bouteille quelques graines de tradescantia, que nous appelons aussi “misère”. Ces plantes sont connues pour être très robustes, et pour se multiplier comme par magie, ou presque. La misère est une plante un peu envahissante, et le fait d’être enfermée dans une bouteille ne l’empêche absolument pas de pousser, la preuve ! Pendant les douze premières années, l’homme a arrosé ses plantations, et en 1972, il a décidé de sceller hermétiquement sa bouteille. Et en privant la plante d’oxygène, elle aurait pu tout simplement mourir. Mais pas du tout ! Au contraire, Mr Latimer a juste tourné méthodiquement sa bouteille afin de l’exposer à la lumière du soleil pour qu’elle se développe uniformément dans la bouteille. Il explique ne l’avoir jamais taillée et l’avoir laissée évoluer comme bon lui semblait avec comme seule barrière, les parois de la bouteille. Image d’illustration. Crédit photo Mais comment est-ce possible ? Normalement, une plante a besoin d’air, d’eau, de lumière. Mais il semblerait que cette misère ait pu développer son propre microsystème à l’intérieur de la bouteille. En absorbant la lumière du soleil, elle a pu provoquer l’humidité dont elle avait besoin, et surtout la convertir en énergie. Ce cycle bien connu s’appelle la photosynthèse. Concrètement, l’espace étanche crée un écosystème autonome dans lequel la plante utilise la photosynthèse pour se fournir en éléments nutritifs qu’elle utilise, puis recycle. Avec la seule lumière du soleil, la plante peut donc survivre car elle lui fournit l’énergie nécessaire à la création de ses propres nutriments. Quant à l’eau, la plante a également développé un système autonome l’humidité qui se crée dans la bouteille est absorbée par les racines, puis libérée lorsque la plante transpire. Grâce aux parois de verre, elle redescend vers les racines, qui peuvent ainsi être à nouveau irriguées. Quant aux feuilles qui tombent de la plante, elles forment un humus que la plante réutilise pour se nourrir. Image d’illustration. Crédit photo Comment réaliser votre jardin dans une bouteille ? Il faudra d’abord choisir un récipient en verre de grande contenance, avec un col large pour accéder facilement à l’intérieur. Un grand bocal de légumes ou de moutarde sera parfait pour débuter l’expérience. Au fond du pot, il faudra ajouter du terreau de rempotage par exemple, et du gravier pour le drainage. Enfin, une couche de compost sera la bienvenue, toujours pour nourrir votre plante. Quant aux variétés, vous pouvez choisir de la misère comme David Latimer, mais également des fougères, des helxines ou encore des urticaceae. La plupart sont des plantes herbacées qui n’ont pas besoin de soins particuliers. Vous n’aurez plus qu’à arroser en évitant les feuilles, et placez votre pot à la lumière du jour, mais en évitant le plein soleil. Rendez-vous dans soixante ans pour nous faire découvrir votre jardin dans une bouteille peut-être ? Mes sujets de prédilection sont l'écologie, l'environnement, les innovations solidaires et les actualités en général. J'espère que vous prendrez plaisir à me lire. Ma devise "Carpe Diem" parce que la vie est trop courte et qu'il faut en savourer chaque instant.
Lavie à la ferme. 192 J’aime. Bon . Ce n'ait pas demain que je vai sortir avec mon coucou . On va attendre que la pluie passe
Installée à Saône, près de Besançon, la Ferme de la Vie de Fer, vous propose ses produits laitiers et épicerie fermière. Créé en 1960, ce GAEC au départ familial se compose aujourd'hui de trois associés. Le lait produit par nos 70 vaches sur environs 150 hectares verdoyants répond au cahier des charges de la filière AOP Morbier. Depuis 2019, nous avons ouvert un laboratoire de transformation et une boutique de vente directe à la ferme. Nous vous proposons nos produits laitiers tels que lait, crème, beurre, fromage blanc, faisselle, yaourts natures et aux fruits ainsi que de la tomme. Nous proposons également d'autres fromages, divers produits d'épicerie fermière et de la bleue, Eurocard - Mastercard, Visa ServicesBoutiqueClick and CollectType de produitsProduits laitiersViandes, Volailles Tarifs & Horaires Ouverture Du 01/01/22 au 31/12/22Conditions d'ouverture spéciales Click and CollectPrésentationInfos complémentairesTarifs & horaires +4Avecla Belle époque et jusqu'aux années 60, il faut aimer! C'est la règle. L'amour et le plaisir deviennent indissociables. Et les interdits tombent. "Même si les femmes refusent
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SelonJacques Desbarbieux, cette seconde photo de la ferme Pottier, adoptant le même point de vue que la précédente, aurait été prise le 27 mai 1954.. Bis repetita, le même photographe s’est posté au même endroit et a utilisé le même angle de prise de vue.La ferme est en cours de démolition. C’est la première d’une longue liste des bâtiments
Revivre les moissons à l'ancienne Dans les années 1950, il fallait douze personnes pour battre 100 quintaux de blé par jour. Aujourd'hui, une batteuse fait 400 quintaux à l'heure, à la journée et il n'y a qu'une personne », sourit Serge Patillault, 83 ans. L'époque qu'il a connue est plus que révolue. C'est celle qu'il fera revivre ce week-end à la ferme du Grand Carrouge de Saint-Maurice-sur-Aveyron. Avec des amis, il effectuera des démonstrations de moissons et battages à l'ancienne. L'été, on couchait dans la paille. Les toilettes se faisaient dans l'abreuvoir aux vaches » Une première fête a eu lieu l'an dernier. On est une équipe de copains qui a du matériel ancien. On s'était dit que ce serait bien de faire une fête entre nous, pour s'amuser », explique Christian Merlin. Cette année, la municipalité, le comité des fêtes et des associations nous ont rejoints et la manifestation sera ouverte au public. » Ces hommes âgés de 70 à 80 ans remonteront sur les machines et feront des gestes qu'ils connaissent par c'ur. À 14 ans, j'étais déjà en haut de la batteuse pour couper les ficelles des gerbes », se souvient Serge, fils d'entrepreneur. Mon père avait trois batteuses à blé et une à trèfle. Quand on était gamin, on commençait comme ça. » Ce que confirme Christian Merlin A 12 ans, on était dans les champs, on savait travailler. » Même si ce travail était éprouvant, dans la poussière, on en garde des bons souvenirs », avance Serge Patillault, qui allait de ferme en ferme. En été, pendant la moisson, les journées commençaient à six heures. Une première pause pour déjeuner avait lieu à 7 h 30. Le travail reprenait à 8 heures et jusqu'à midi. Après avoir mangé, les paysans réattaquaient à 13 heures pour terminer à 20 heures. Et cela pouvait être sept jours sur sept. On était une dizaine d'ouvriers autour de la batteuse. Il y en avait toujours un qui faisait une blague », se remémore Bernard, le frère de Serge. Et les filles nous apportaient à boire. Les clients étaient aussi nos amis. » Et Serge de renchérir L'été, on couchait au pied des meules, dans la paille. Les toilettes se faisaient dans l'abreuvoir aux vaches. » Les repas étaient préparés par les fermiers. Compliqué pour la vie de famille Le travail, ils l'ont vu évoluer en 60 ans. C'était de plus en plus facile, ça allait de plus en plus vite », reconnaît Christian Merlin. Oubliés les sacs de 100 kg à porter sur le dos. Avant, les machines faisaient entre 1,70 et 2 mètres de coupe. Aujourd'hui, elles font 12 mètres. C'est obligatoire avec les surfaces qu'ont les jeunes maintenant. Ils ne peuvent pas se permettre de couper 1,5 hectare à l'heure », explique Bernard Patillault, qui reconnaît que pour la vie familiale ce travail n'était pas évident. De juillet à février, on n'était pas souvent à la maison. Nos enfants ont souffert de ne pas nous voir. » Malgré tout, ils ont suivi les mêmes pas que leurs parents. Mais le métier a bien changé… è Pratique. À la ferme du Grand Carrouge à Saint-Maurice-sur-Aveyron, samedi et dimanche, de 10 à 19 heures, moissons et battages à l'ancienne. Exposition de matériels agricoles des années 1945 à 1960. Promenades en calèche. Entrée gratuite. Aurélie
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